UN MODELE HIERARCHISE DE NIVEAUX de COMPLEXITE ET DE  TYPES de THERAPIES

Cet article propose une modélisation et hiérarchisation de différents systèmes associés à des types de thérapies dans un but d’harmonisation et d’équilibre respectueux et bienveillant de l’être humain. Un système est un ensemble d’éléments considérés dans leurs relations à l’intérieur d’un tout fonctionnant de manière unitaire

L’être humain « habituel » a une vie professionnelle, familiale, sociale et se satisfait complètement de cette vie ; il ne cherche pas autre chose.

Mais certains êtres humains différents ne se satisfont pas de la vie dite ordinaire ; ils se mettent alors à rechercher ce qui leur permettrait de devenir meilleur, d’évoluer, de développer des qualités d’être, et leur conscience de soigner leurs traumatismes, leurs maux et maladies, leurs cauchemars, leurs peurs, etc.

Pour ce type d’êtres humains on parle de relations étroites entre le cerveau de l’être humain et son développement qui serait au départ situé plus sur un plan animal.

Cela rejoint notamment la « théorie » des 3 parties du cerveau, appelée « Théorie des 3 cerveaux » qui distingue :

UNE PARTIE REACTIVE ou  CERVEAU DIT « REPTILIEN », qui reçoit les sensations des organes des sens, et concerne notamment le THALAMUS au niveau du Cerveau, mais aussi est concerné par une partie « motrice » qui contrôle les mouvements et agit par les muscles striés, un centre de commande « végétative » qui assure les activités vitales de l’organisme et leur acclimatation aux changements extérieurs et comprend l’hypothalamus et l’hypophyse, des  sortes de « bassins d’attraction neuronaux » qui font l’objet «de zones d’associations »

Cette partie du cerveau est COMME « VERROUILLEE » au premier niveau, COMME NON ACCESSIBLE et donc fonctionne comme une sorte de « MENTAL REACTIF » en dehors de notre volonté

Cette partie du cerveau permet un équilibre d’autorégulation des organes par rapport aux contraintes de l’environnement une CONSTANCE HOMEOSTATIQUE QUI EQUILIBRE LA « STRUCTURE ».

C’est une partie communicante psychocorporelle qui génère les notions de territorialité, de compétition, de propriété, d’égocentrisme, d’instinct sexuel.

On peut en partie la relier au niveau embryogénèse à L’ENDODERME ET DE FONCTION PHYSIQUE

UNE PARTIE dite LIMBIQUE ou CERVEAU MAMALIEN, partagé avec les mammifères, plus évolué que le précèdent cerveau, démarre au niveau olfactif et se poursuit sur toute la sphère émotionnelle. On l’appelle Rhinencéphale par sa liaison directe avec les nerfs de l’odorat. Il se trouve ENTRE LE CERVEAU REPTILIEN & LE CORTEX.

Il a un comportement analogique et effectue des comparaisons, il stocke et mémorise les informations ; il recherche le plaisir et évite la douleur et permet de ne pas renouveler des expériences présentant un danger ou mettant en péril notre survie. On peut la relier au niveau embryogénèse au MESODERME ANCIEN ET NOUVEAU ET DE FONCTION EMOTIONNELLE

UNE PARTIE dite INTELLECTUELLE, ou CERVEAU MENTAL, serait une partie plus évoluée et plus récente dans l’évolution des êtres vivants. Il s’agit de ce qui est appelé le NEO CORTEX QUI CORRESPOND GLOBALEMENT AUX 2 HEMISPHERES CEREBRAUX ; il analyse ce que l’être humain perçoit, de façon logique. En quelque sorte il relie l’effet à la cause. Autrement dit il fonctionne comme un outil de traitement de données en utilisant les informations fournies par les organes des sens : Vue, Audition, Ressentis, Gout, Odorat et le messages émotionnels associés et déduit les actions à mener.

 AU NIVEAU CONDITIONNEMENT cette partie du cerveau est imitative impliquant un apprentissage l’acquisition d’un savoir vivre en société, des opinions, croyances ou pensées inculquées par notre éducation familiale et le milieu où nous vivons. On peut la relier au niveau embryogénèse à L’ECTODERME ET UNE FONCTION INTELLECTUELLE qui correspond à un besoin d’identification et s’avère nécessaire à une forme de sociabilité.

Nous constatons selon cette classification qu’il y a un lien fort entre NOS CONDITIONNEMENTS REFLEXES et cette THEORIE DES 3 CERVEAUX ainsi que la POSSIBILITE DE HIERARCHISER

DIFFERENTS SYSTEMES ET DES NIVEAUX DE COMPLEXITE EN LIENS AVEC DES TYPES DE SOINS

TABLEAU ILLUSTRATIF DE NIVEAUX DE COMPLEXITE et DE NIVEAUX DE SOINS

Ainsi apparaissent différents niveaux de « thérapies et de soins » que l’on pourrait notamment classer ainsi, selon le Dr Clara NAUDI et Idris Lahore [Réconcilier les thérapies, vers un art de guérir du XXI ^éme siècle]  et quelques exemples ajoutés